Les débuts dans la vie active
- Estelle Lévêque
- 18 oct. 2018
- 2 min de lecture

Forte de cette expérience clermontoise, j'avais voulu prendre les devants en postulant au sein du groupe Centre France afin d'intégrer le "vivier de CDD". Il s'agissait d'un groupe de personnes prêtes à travailler dans les multiples agences du groupe : de l'Auvergne au Centre-Val de Loire en passant par la Bourgogne ou l'Île-de-France. Je ne savais pas encore ce qui m'attendait, mais je voulais poursuivre mon expérience au sein de ce groupe qui m'a donnée ma chance.
Seulement, un grain de sable est venu se loger dans l'organisation imaginée. Il n'y a pas eu de place immédiatement pour moi. Je commençais à envisager un retour à Nantes, chez mes parents. Mais grâce au réseau de l'École de Tours, j'ai reçu l'information que le Dauphiné Libéré recherchait des renforts. J'ai donc postulé à l'agence de Vienne, en Isère et j'y ai rencontré le chef. Quelques jours plus tard, il m'a rappelée pour me dire qu'il n'accepterait pas ma candidature, mais qu'il la transmettait à la cheffe départementale.
Rapidement, Emily Imbert m'a rappelée pour me proposer de rejoindre l'agence de Voiron. Je commencerai début octobre. J'avais donc un contrat pour commencer ma carrière et je finissais mon stage clermontois sur une bonne note.
Faire ses preuves rapidement
L'agence de Voiron m'a donc accueillie, j'y ai rencontré une cheffe d'agence toute nouvelle dans ses fonctions : Marine Langevin. Elle m'a présentée l'équipe et m'a indiquée que l'agence couvrait deux secteurs, celui de Voiron et celui (aux portes de la Drôme) de Saint-Marcellin. J'y ai donc découvert un nouveau fonctionnement, largement plus restreint puisque nous n'étions que quatre. Mais j'ai rapidement pris mes marques grâce à la bienveillance et la sympathie des collègues.
J'avais signé un contrat de quatre semaines. Ces dernières ont été écourtée à cause d'un problème familial, et j'avais appris que je signerai pour huit semaines dans une autre agence, celle de la Tour-du-Pin. Un début de carrière sans chômage comme j'en avais eu l'idée, mais avec des contrats très courts qui ont nécessité et développé ma capacité d'adaptation et de mobilité. Je pense que les stages m'y avaient préparé. Mais, j'ai aussi pu compter sur l'accompagnement (très soutenu) de mes proches.
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